Les Chakras introduction

Toutes les religions conduisent à la réalité ultime de la conscience de Dieu.

On doit choisir celle qui nous convient le mieux. La vérité n’est l’apanage d’aucune religion. Celui qui cherche la vérité suit la voie de la lumière, de la paix, de la sagesse, et de l’extase. La philosophie ne se plient à aucun dogme, elles sont basées sur la vérité, et par conséquent capable de s’appliquer à toutes les religions.

Il est dit que les vérités de l’ensemble des religions ont pour source les Véda, les textes les plus anciens de l’hindouisme. Véda : “Savoir”. Les Védas renferment les vérités éternelles révélées par Dieu aux grands prophètes indiens, les Rishis. Les Upanishad, contient l’essence des Vida. En plus de révélés les vérités spirituelles les plus subtiles et profondes, les Upanishad parlent de l’identité de l’âme individuelle et de l’ Âme suprême. Les Upanishad : vient des textes, partagés en livres, dont il est le plus important. L’hindouisme est riche en dieux, chacun doué de certaines qualités et associé à des animaux et images symboliques.

Anatomie subtile et système des chakras

Ce système, utilisé depuis des milliers d’années en Orient, est de plus en plus reconnu par la société occidentale, qui a tendance actuellement à s’éloigner quelque peu de l’approche scientifique de la santé et du corps.

Chaque chakras est tenu pour une roue tournante d’énergie qui contient et organise le Pranas : la force vitale du corps. Les chakras ont un lien entre le spirituel et le physique. Chacun correspond à des caractéristiques et des parties du corps particulières. Lorsque l’énergie corporelle est bloquée ou déséquilibrée, cela affecte tous les aspects de la vie. Un travail sur les chakras favorise la santé et l’équilibre, tout s’efforçant d’atteindre l’illumination. Pour élargir la compréhension, accroître la vitalité et favoriser la reconnexion avec notre lumière divine.

Sadasiva, mi-homme, mi-femme : chakra Vishuddha représente Shiva et sa Shakti, son aspect féminin.

Lien avec le corps physique à travers le système endocrinien, son rapport avec la respiration.

L’Aura et les Nadis

L’aura, qui entoure et interpénètre le corps physique, est composée de plusieurs strates ou enveloppes. Chacune de ces strates est légèrement plus grande que la précédente, s’interpénétrant et s’étendant de quelque 5 centimètres au-delà d’elle. (chaque strate contiendrait son propre système des chakras, mais aucune preuve n’étaye cette théorie.) Le système des chakras ici se trouve dans “l’enveloppe éthérique”, la strate aurique proche du corps physique. Puisque les autres strates de l’aura interpénètrent celle-ci, elles sont affectées par les chakras qui s’y trouvent.

L’enveloppe éthérique comprend des milliers d’étroits canaux énergétiques, les Nadis, comparables aux méridiens de la médecine chinoise, à travers lesquels circule le Prana, la force vitale essentielle pour toute vie. Les jours ensoleillés, le prana abonde et est visible dans l’atmosphère comme d’infimes particules de lumière blanche éclatante. Quand le prana est absorbé dans l’enveloppe éthérique, il se décompose dans les sept couleurs spectrales. L’énergie vibratoire de chaque couleur est absorbée par le chakra qui vibre sur sa fréquence.

Les chakras sont connectés au corps physique à travers cet immense réseau de canaux subtils. Si les nadis sont bloqués par l’énergie stagnante accumulée à cause des pensées et des émotions négatives ou de la surconsommation d’aliments dévitalisés, l’énergie du corps physique s’épuise. Si cela n’est pas corrigée, elle finira par provoquer une maladie physique.

Le corps physique est un miroir reflétant l’état de tous les autres aspects de moi : l’image du moi spirituel apparaît dans les yeux. Les états émotionnel et mental sont visibles dans l’apparence de la peau, l’expression du visage et la posture du corps. Lors d’une maladie physique, le corps met en évidence tous ces aspects.

Parmi les milliers de nadis contenus dans l’enveloppe éthérique, on en trouve trois principaux : Shushumna – Ida – Pingala situé à l’intérieur de la colonne vertébrale, est le principal canal pour la circulation de l’énergie nerveuse. Il va du chakra racine jusqu’au chakra des sourcils en traversant quatre chakras principaux.

- Sushumna comprend deux nadis supplémentaires : Vajra et Chitrini, emboités l’un dans l’autre. Le tube se trouvant à l’intérieur du plus fin sert de conduit à l’énergie Kundalinî. Des milliers de nadis secondaires se ramifient et se connectent au système nerveux du corps physique à partir de Sushumna.

- Ida est situé sur le côté gauche du corps. Est associé au sang-froid, à la lune, à l’hémisphère droit et au système nerveux parasympathique, responsable de la relaxation.

- Pingala sur le côté droit. Est lié au soleil, à la chaleur, à l’hémisphère gauche et au système nerveux sympathique responsable de la stimulation.

Ces deux derniers partent du chakra racine, s’entrelacent avec les chakras principaux et Sushumna, formant une sorte de serpent, pour arriver au chakra des sourcils. Ils sont approvisionnés en prana à travers la respiration et sont liés respectivement aux narines gauche et droite. Les yogis enseignent que si la narine droite est dominante, le moment est venu de manger et de participer à un travail actif. Lorsque la narine gauche est active, on doit se reposer, dormir ou s’adonner à des activités créatives.

Dans L’enveloppe éthérique de l’aura, un chakra principal se forme à l’intersection de 21 nadis et un chakra principal se forme à l’intersection de 14 nadis. L’intersection des 21 nadis et un chakra principal est similaire à un glanglion, un plexus de terminaisons nerveuses. Les chakras secondaires sont nombreux. Les chakras principaux sont en nombre de douze, dont sept sont le plus connus. Cinq d’entre eux sont situés le long de la colonne vertébrale, deux sont connectés au crâne. On trouve deux autres chakras dans l’aura surmontant la tête, un dans le crâne, un au nombril et un dernier entre les pieds.

But du travail des chakras : éveil de Kundalinî. Il est représentée sous la forme d’un serpent lové à la base de Sushumna. On fait montait sa kundalinî par la volonté ou par la puissance spirituelle accompagnée d’une action physique approprié. Lorsqu’elle est éveillée, kundalinî monte de Sushumna vers son conjoint Shiva, par l’ouverture auparavant bloquée par ses propres anneaux. Lors de son voyage, elle traverse tout à tour les chakras (lotus). En arrivant au chakra couronne – le lotus à mille pétales – elle apporte à l’aspirant l’illumination, la conscience de Dieu. A son premier éveil, kundalinî ne peut rester que très peu de temps au centre couronne avant de revenir au chakra racine, mais avec chaque éveil, la durée de son séjour s’accroît. Kundalinî est parfois décrite comme la représentation corporelle du grand pouvoir cosmique qui créé et soutient l’univers. Chaque être humain étant un microcosme appartenant à ce macrocosme, ce pouvoir nous soutient aussi.

Conseils pour la méditation

- Trouver un endroit tranquille, confortable, où vous ne serez pas dérangé. Si vous avez l’intention de pratiquer régulièrement, il vaut mieux passer 10 min à la même heure tous les jours, tôt le matin ou tard le soir.

La méditation est au coeur du travail avec le yoga et avec les énergies subtiles, susceptibles de prendre d’innombrables formes. Une de ces formes dont le but est de purifier et d’activer les nadis et les chakras pour équilibrer l’ensemble du système énergétique, a pour origine le laya yoga. Associé à des exercices spécifiques de respiration (pranayama), elle pose les bases d’un puissant système de médecine préventive. Pour l’utiliser, il est essentiel de travailler avec les mantras, les yantras (formes géométriques) et le symbolisme de chaque chakra.

50 sons dominants et sous dominants sont associés à chaque chakra, correspondant au nombre de vocables de l’alphabet sanscrit. Les origines du sanscrit sont inconnues, bien qu’en Inde on les considère comme divines, chaque lettre et le son correspondant se rapportant à un aspect de la nature humaine.

Le mot “mantra” signifie en sanscrit “la pensée qui libère et protège”. La récitation des mantras a la capacité de changer la conscience du récitant. On pense que tous les sons, quels qu’ils soient, génèrent une énergie parfois bénéfique, parfois néfaste. C’est là l’une des raisons de la règle du silence adoptée par certains monastères et couvents, qui permet de parler uniquement en cas de nécessité, durant de courtes périodes. L’hindouisme dispose de milliers de mantras, regroupés en fonction de leur objectif ou intention. Certains sont conçus pour résonner avec les chakras et les activer, d’autres servent au travail avec les siddhas, les pouvoirs latents que renferme tout individu.

L’un des buts du laya yoga est d’intensifier la force énergétique latente (la kundalinî) demeurant dans le chakra racine. Sa pratique génère aussi un calme régénérateur de la colonne vertébrale et les chakras qui émettront une force curative vers les organes et les glandes associés à ceux-ci. Il est mieux de se trouver un enseignant, la médecine ayurvédique fait appel au pouvoir reconstituant du laya yoga. Des médecins ayuvédiques étant des yogis expérimentés, connaissant à fond ce système énergétique subtil, passionnant et stimulant par sa richesse imaginative.

Les nombreuses méthodes qui enseignent la croissance personnelle exigent du temps, de la pratique et de la patience, tout comme apprendre à reconnaître et à travailler avec le système des chakras. Activer ses chakras grâce aux asanas nécessite un positionnement correct du corps et le maintien des postures aussi longtemps que possible.

Les initiés au Reiki utilisent les Marmas de la paume des mains pour diffuser l’énergie guérisseuse….

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